Débat sur la fin de vie

Mardi 14 mai, aider à mourir ou aider à vivre ?

A 15h30 : Table ronde avec Antoine d’Abbundo (Salle Louis Martin)
Quels sont les enjeux du débat parlementaire sur la fin de vie et des choix éthiques qui se dessinent ?

Le journaliste mettra en perspective toutes les prises de position depuis la convention citoyenne jusqu’à l’expression des responsables religieux et des personnes engagées dans l’accompagnement des personnes en soins palliatifs.
Antoine d’Abbundo suit pour La Croix les questions bioéthiques, après avoir été en charge de l’économie et précédemment à la rédaction en chef du Pèlerin.

A 20h30 : Conférence débat sur la fin de vie avec Dr Claire Fourcade, animé par Antoine d’Abbundo (Salle Jean XXIII)

Claire Fourcade est médecin dans le pôle de soins palliatifs de la Polyclinique Le Languedoc à Narbonne. Elle préside la Société française d’accompagnement et de soins palliatifs (SFAP) et intervient régulièrement sur tous les enjeux liés à
l’accompagnement des mourants.

Faut-il préserver et appliquer la loi Claeys-Leonetti ou bien la modifier ?

Faut-il promouvoir les soins palliatifs ou bien l’euthanasie et le suicide assisté ?

Ce mardi 14 mai a été arrosé par l’eau du ciel. Mais dans la paroisse, c’est surtout notre esprit qui a été irrigué par l’apport de nos deux intervenants pour réfléchir sur la fin de vie à l’occasion du débat parlementaire qui commence.
Devant un large auditoire de 140 personnes, Dr Claire Fourcade, président de la SFAP et médecin en soins palliatifs, a témoigné de son long engagement
professionnel. Elle a posé clairement les conséquences d’une autorisation de l’euthanasie et du suicide assisté, en montrant surtout ce que l’accompagnement des personnes malades demande d’efforts et de prise en considération de la souffrance.
Antoine d’Abbundo, chef de la rubrique Ethique de La Croix, l’a interrogée et il avait, dans l’après-midi, fait le point sur le processus du travail parlementaire
devant 30 autres personnes. N’hésitons pas à nourrir notre réflexion et à nous y impliquer.

P. Vincent